La simulation
La réglementation de la formation précise :
« (…) afin de favoriser l’apprentissage, l’approche par simulation sera renforcé en institut de formation (…) ».
L’équipement de l’institut est constitué, à ce jour, d’un mannequin non robotisé, de simulateurs de « basse fidélité » et d’une caméra.
Dans un premier temps, les étudiants et les élèves travaillent, questionnent, réfléchissent sur l’objectif d’un soin, ses critères qualité pour comprendre comment s’y prendre.
Puis, en salle de travaux pratiques, ils réalisent des activités.
Au cours des séances de travail en salle de travaux pratiques, les étudiants et les élèves sont tour à tour spectateurs et acteurs.
Ainsi, l’argumentation sur le choix du déroulement de l’acte, le choix des gestes, est réalisée par l’acteur et questionnée par les spectateurs.
Si la séance est filmée, le questionnement et la critique (ce qui est bien, pourquoi c’est bien - ce qui est à améliorer, pourquoi c’est à améliorer) peuvent se faire une seconde fois, à distance du moment de l’exercice pratique.
Quelques exemples :
- Toilette d’une personne alitée réalisée sur un mannequin
- Mesure de la tension artérielle réalisée sur des étudiants ou élèves volontaires
- Pose de bandes à varices réalisée sur un mannequin
- Prise de sang réalisé sur un bras « simulateur »
- Injection dans un dispositif spécial (chambre implantable) qui permet, par exemple, les traitements par chimiothérapie